Je vous ai épisodiquement parlé dans quelques articles de ce blog de mon long projet d'écriture de roman, commencé en 2013 (et même déjà en 2011 pour la préhistoire de l'écriture). Vous pouvez retrouver ces articles en cliquant sur le libellé "La Perle rouge" dans le menu de gauche.
J'ai le plaisir de vous annoncer officiellement que La Perle rouge est publié depuis le 24 février 2025, aux éditions Complicités.
Résumé
Cologne, 1545. Le
peintre Barthel Bruyn réalise le portrait du bourgeois Philipp von Gail
et de sa famille. Les poses sont rigides, les visages empreints de
gravité. Pourtant, sous le vernis, les passions bouillonnent.
Guidée par le regard du peintre, l’histoire retrace les destinées de
plusieurs familles qui se croisent dans l’Allemagne de la première
moitié du XVIe siècle. Tensions politiques et familiales gravitent
autour d’une mystérieuse perle rouge.
Brodant sur une trame historique, La Perle Rouge est une fiction qui
restitue les émotions figées dans les austères portraits de famille de
cette époque.
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En guise de bande annonce, voici la photo du livre avec quelques objets emblématiques qui m’ont accompagnée au cours de son écriture.
- Sur la première de couverture et sur la quatrième de couverture figurent les deux panneaux, masculin et féminin d’un diptyque exposé au Louvre et représentant les membres de la famille von Gail, de riches marchands de Cologne, peints par le peintre Barthel Bruyn. Regardez bien chacun de ces neuf personnages ! Quelles passions cachent-ils derrière le masque austère de leur visages figés ?
- Une épingle surmontée d’une perle de cornaline. Cette perle rouge donne son titre au roman. Elle en est presque un des personnages principaux. On la désire, on la dérobe, on la caresse, on la conserve, on la transmet... Elle recèle de nombreux secrets que vous découvrirez au fil de la lecture.
- Des fleurs d’œillet rouge séchées. Dans les portraits de la peinture allemande du XVIe siècle, il est fréquent qu’un personnage soit représenté avec un œillet à la main. C’est particulièrement le cas dans les tableaux de Barthel Bruyn. Suivez-moi dans son jardin secret pour découvrir tout ce qu’il aimait dans les œillets rouges.
- Une poignée de cochenilles séchées. Cet insecte en provenance du Nouveau Monde arrive en Europe au début du XVIe siècle, où il sert à fabriquer un carmin qui fixe mieux la couleur que les autres pigments rouges. Barthel Bruyn en veut absolument !
- Un petit pot de pigment que j’ai tenté de fabriquer selon une recette médiévale adaptée, à base de cochenilles séchées et nécessitant divers bouillons, tamisages, mélanges avec eau de pluie, alun, ou œuf à différentes étapes. Le résultat est une pâte solide très concentrée que l’on peut diluer pour obtenir un beau rouge profond teinté de mauve. Avec ce pigment, Barthel Bruyn pourra enfin achever le tableau de ses rêves !
- Une poignée de noyaux de cerises rouges. Mais oui, ces cerises sont des figures de la Perle rouge ! Elles sont disséminées dans tout le roman, mais c'est surtout dans la dernière partie qu'elles arrivent sur le devant de la scène. Il vous faudra grimper avec moi aux branches du cerisier pour en découvrir toute la saveur.
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Vous pouvez vous procurer La Perle rouge chez votre libraire de quartier, ce que je vous encourage à faire. Sinon sur un site de librairie en ligne, par exemple :
https://www.fnac.com/a21204902/Nadia-Pla-Massoudy-La-perle-rouge
A partir de mai, il sera également disponible en e-book, mais vous pouvez d'ores et déjà en lire gratuitement les premiers chapitres ici (en cliquant sur "Extrait") :
https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/la-perle-rouge-2
Bonne lecture !
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Et toutes mes autres publications à lire, écouter, regarder, ici :
https://www.pearltrees.com/pla2/publications-de-nadia-pla/id33402228
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